L’eau

(elements)

L’eau / Water

L’eau / Water

The exhibition ‘L’eau’ is co-curated by Sandra Higgins, Director of Sandra Higgins Art, London and Bath.
L'exposition « L'eau » est une commande conjointe de Sandra Higgins, directrice de Sandra Higgins Art, Londres et Bath.
www.sandrahiggins.art

Trois artistes, Burnett-Hall, Donovan et Le Gear, présentent des œuvres liées à l'élément eau par le biais de la peinture, du dessin, du pochoir, de l'installation, de l'expérimentation et de l'intervention.

Three artists, Burnett-Hall, Donovan and Le Gear show works relating to the element of water through the mediums of painting, drawing, stencil, installation, experimentation and intervention.

Louisa Burnett-Hall
louisaburnetthall.com
IG louisaburnetthall
FB Louisa Burnett-Hall Art

Burnett-Hall explore la relation humaine avec les forces de la nature et les éléments, en se concentrant sur les multiples formes de l'eau et son symbolisme. Répondant à des sites spécifiques dans le paysage, elle recueille des informations au moyen de photographies, de films et de croquis, puis travaille ses compositions en studio sur des surfaces allant du petit et intime à des toiles gestuelles à grande échelle. Son intérêt pour l'espace et le temps s'exprime à travers la couleur, la ligne et le mouvement, fusionnant les frontières entre la peinture et le dessin. Travaillant selon un processus d'analyse et de reconstruction, elle considère la création d'une œuvre comme un acte poétique.
Sa sensibilité à la nature lui vient d'une enfance entourée de ruisseaux de craie, de bois et de sites néolithiques dans le sud de l'Angleterre. Plus tard, alors qu'elle était étudiante en Écosse, c'est dans la pratique de la gravure, où l'image était « retournée et mise à l'endroit », que Burnett-Hall a trouvé son approche du paysage, décomposant l'image jusqu'à son expression essentielle à travers la masse et la ligne. Elle a commencé à réaliser des gravures, des dessins et des peintures sur les marques du temps et de l'activité humaine dans la terre.

En 1990, elle se rend au Japon et est frappée par les qualités métaphysiques de la nature dans les jardins tranquilles des temples de Kyoto. Son installation en France la même année lui fait prendre conscience de son héritage britannique dans son rapport émotionnel avec le paysage.
Elle a commencé à explorer les possibilités de l'eau comme principale source d'inspiration vers la fin des années 1990, fascinée par les effets optiques de la lumière et de l'eau découverts dans certaines de ses photos analogiques. Le mouvement et le rythme, avec leurs connotations musicales, sont devenus des éléments essentiels.

L'eau parle à toute l'humanité.

Invitée à représenter la France en Chine en 2014, ses peintures ont franchi la barrière linguistique et ont été chaleureusement accueillies ; elle y expose depuis régulièrement dans des musées publics et privés. Pour Burnett-Hall, l'eau est le moyen de réunir de nombreux axes de réflexion, tels que notre perception du visible et de l'invisible, ou encore la notion de temps qui passe. Son travail met l'accent sur l'importance vitale de l'eau en tant qu'élément de notre environnement global et sur son expression de la vie, tant dans la réalité que dans la métaphore


Burnett-Hall explores the human relationship with the forces of nature and the elements, focusing on the multiple forms of water and its symbolism. Responding to specific sites in landscape, she collects information by means of photography, film and sketches, then works her compositions in the studio on surfaces ranging from the small and intimate to large scale gestural canvases. Her interest in space and time is expressed through colour, line and movement, merging the boundaries between painting and drawing. Working through a process of analysis and reconstruction, she considers the creation of a work to be a poetic act.

Her sensitivity to nature comes from a childhood surrounded by the chalk streams, woods and neolithic sites of the south of England. Later, as a student in Scotland, it was through the practice of printmaking where the image was ‘turned around and back to front’ that Burnett-Hall found her approach to landscape, breaking the image down to its essential expression through mass and line. She began making prints, drawings and paintings about the markings of time and human activity in the land.

In 1990, she travelled to Japan and was struck by the metaphysical qualities of nature in the quiet temple gardens of Kyoto. Her move to France in the same year heightened her awareness of her quintessentially British heritage in her emotional rapport with landscape.

She began to explore the possibilities of water as her main source of inspiration towards the end of the 1990s, fascinated by the optical effects of light and water discovered in some of her analogue photos. Movement and rhythm with their musical connotations, became essential elements.

Water speaks to all humanity.
Invited to represent France in China in 2014, her paintings crossed the linguistic barrier and were warmly received; she has since regularly exhibited there in both public and private museums. For Burnett-Hall, water is the means of bringing together many lines of enquiry, such as our perception of the visible and invisible, and the notion of passing time. Her work puts emphasis on water’s vital importance as part of our global environment and its expression of life in both reality and metaphor.

Artist statement for the works included in ‘L’eau’ 2024
Burnett-Hall
Expressing the Invisible.

I am fascinated by the infinite possibilities of water and how to capture its invisible substance and movement on a surface through line, light and layer.
A millennia-old metaphor for life and renewal, I see water as a visual connection between heaven and earth, - whether in the tall cascades where the summit vanishes into the sky, or when looking down onto the surface where many layers of physical and reflected dimensions are interconnected. ‘Empty’ areas act like portholes into another spiritual dimension, similar to the use of gold in icons.
Water spills beyond the frame, beyond our vision, which is why I often work with split images and series. Our mind’s eye has to fill in the gaps, our physical eye has to jump.
Being in motion, running rivers and falling water represent a fleeting instant in time - no sooner seen than gone. Some of the compositions have upper and lower horizontal bands of neutral white, quiet zones, allowing the composition to breathe – these form ‘banks’ for the central flow. They reference stills from film, instants in time. Whenever we look at water, whether it’s the sea or a puddle, we are only seeing a small fragment that belongs to a vast cycle of time and process of physical transformation. Referring to specific sites, these fragments in time form the basis of my work.
I like to explore the liquid properties of water based paints such as acrylic that can be poured, brushed or applied with pen, finding a balance between accident and control.  The works merge the boundaries between painting and drawing; lines and marks create a calligraphic vocabulary expressing rhythm, movement and the force of life.

LBH Paris 20 May 2024.

Je suis fascinée par les possibilités infinies de l'eau et par la manière de capturer sa substance invisible et son mouvement sur une surface par le biais de la ligne, de la lumière et de la couche. Métaphore millénaire de la vie et du renouveau, je vois l'eau comme un lien visuel entre le ciel et la terre, que ce soit dans les hautes cascades où le sommet s'évanouit dans le ciel, ou en regardant la surface où de nombreuses couches de dimensions physiques et réfléchies sont interconnectées. Les zones « vides » agissent comme des hublots vers une autre dimension spirituelle, un peu comme l'or dans les icônes. L'eau déborde du cadre, au-delà de notre vision, c'est pourquoi je travaille souvent avec des images fractionnées et des séries. L'œil de notre esprit doit combler les lacunes, notre œil physique doit sauter.

En mouvement, les rivières qui coulent et l'eau qui tombe représentent un instant fugace dans le temps - à peine vu qu'il a déjà disparu. Certaines compositions comportent des bandes horizontales supérieures et inférieures d'un blanc neutre, des zones calmes qui permettent à la composition de respirer - elles forment des « rives » pour le flux central. Elles font référence à des images fixes de films, à des instants dans le temps. Chaque fois que nous regardons l'eau, qu'il s'agisse de la mer ou d'une flaque, nous ne voyons qu'un petit fragment qui appartient à un vaste cycle de temps et à un processus de transformation physique. J'aime explorer les propriétés liquides des peintures à base d'eau, telles que l'acrylique, qui peuvent être versées, brossées ou appliquées au stylo, en trouvant un équilibre entre l'accident et le contrôle. Les œuvres fusionnent les frontières entre la peinture et le dessin ; les lignes et les marques créent un vocabulaire calligraphique exprimant le rythme, le mouvement et la force de la vie.

LBH Paris 20 mai 2024.

Keith Donovan
www.keithdonovan.com

Keith Donovan est né en 1952 à Edmonton au Canada. Il fait ses études auprès de Ian Wallace à l’Ecole des beaux-arts de Vancouver. De 1973, date de sa fondation, à 1981 il collabore avec le Western Front, centre culturel expérimental dédié à l’Intermédia. Dans ce contexte, en 1978, il accompagne à Genève, avec Michael Morris,Vincent Trasov, et Peter Schuyff, une exposition qui documentant l’activité du centre et il voyage en Europe. En 1982 il s’installe à Genève suite à une invitation du Musée d’art et d’histoire et lorsqu’en 1996 la Fondation de France lui propose un atelier, il s’établit à Paris jusqu’en 2003. Actuellement il vit et travaille à Jouhet,  dans la Vienne. Depuis le début des années ‘80 son travail a été largement montré tant en Europe qu’en Amérique du nord.
Travail de Keith Donovan part d’une réflexion sur l’espace cubiste et le collage et trouve son origine dans la mouvance néo-dada des années ’70 (Coll-Age). Une attirance profonde pour la peinture européenne l’écarte provisoirement de l’imagerie pop au début de son séjour en Europe. Il y retournera progressivement, tout en maintenant une attitude compositionnelle, abstraite et toujours référencée aux histoires de la peinture tant américaine qu’européenne qui fait de son travail un lieu d’échanges permanents entre le vieux et le nouveau monde.

Dans une correspondance de 1989 à R:A : publiée dans le catalogue de Genas il dit : « Je suis d’accord avec toi pour refuser l’autonomie de la peinture : un genre de mur de Berlin appliqué au monde de l’art. Cependant, faire abstraction de côté physique de la peinture équivaut tout simplement à la noyer dans une vapeur idéologique. (Je pense qu’il s’agit de trouver le quotidien dans l’Histoire et vice-versa). » Il exprime en quelques mots cette position de Go Between, que l’on décèle bien dans son travail de l’époque, entre la grande peinture expressionniste américaine des années 50 et le collage cubiste d’une part, le hasard dadaiste d’autre part.

Ainsi, dans les lithographies sur tissu produites en 2003 à l’URDLA, un dialogue se noue entre la source des images (des gravures de Breughel illustrant les péchés capitaux) et une technique d’extraction du sujet, un cut-up, typique du collage, accompagné d’une mise en couleur faite d’aplats qui font migrer les thèmes vers de nouveaux sens, moins lourds, plus décoratifs. Il faut relever ici le choix du support et son possible usage comme coupon. Pour piéger le paradoxe, Donovan en a fait des coussins, taquinant l’idée qu’on puisse trouver le repos en abandonnant son chef à l’Envie ou à la Colère. On devine, accompagnant cette dérive du sens de l’image, une méditation sur la notion d’impermanence, qui relaie parfaitement les palimpsestes de ses peintures/collages.

Textes de référence : Keith Donovan in Keith Donovan - Tony Morgan, cat. Maison des Expositions, Genas 1990 ; Vicieuses Lithos, Cyrille Noirjean in Ça presse n°29, juin 2006,
Site de référence :  HYPERLINK "http://keith-donovan.com/"
http://keith-donovan.com/

 Keith Donovan was born in Edmonton, Canada, in 1952. He studied with Ian Wallace at the Vancouver School of Fine Arts. From 1973, when the school was founded, to 1981, he worked with the Western Front, an experimental cultural center dedicated to intermedia. In 1978, along with Michael Morris, Vincent Trasov and Peter Schuyff, he accompanied an exhibition in Geneva documenting the center's activities, and traveled throughout Europe. In 1982 he moved to Geneva at the invitation of the Musée d'art et d'histoire, and when in 1996 the Fondation de France offered him a studio, he settled in Paris until 2003. He now lives and works in Montmorillon, La Vienne. Since the early '80s, his work has been widely exhibited in Europe and North America. Keith Donovan's work begins with a reflection on cubist space and collage, and has its origins in the neo-dada movement of the '70s (Coll-Age). A deep attraction to European painting temporarily sidelined him from pop imagery at the start of his stay in Europe.
He gradually returned to it, while maintaining a compositional, abstract attitude, always referencing the histories of both American and European painting, which makes his work a place of permanent exchange between the old and new worlds. In a 1989 correspondence to R:A: published in the Genas catalog, he says: “I agree with you in rejecting the autonomy of painting: a kind of Berlin Wall applied to the art world. However, to ignore the physical side of painting is simply to drown it in ideological vapor. [I think it's about finding the everyday in history and vice versa). In a few words, he expresses this ‘Go Between’ position, which can be clearly seen in his work of the time, between the great American Expressionist painting of the 1950’s and Cubist collage on the one hand, and Dadaiste chance on the other. In the lithographs on fabric produced at URDLA in 2003, for example, a dialogue is established between the source of the images (engravings by Breughel illustrating the deadly sins) and a technique for extracting the subject matter, a cut-up, typical of collage, accompanied by a flat color scheme that migrates the themes towards new meanings, less weighty, more decorative.

The choice of support and its possible use as fabrics and functional objects should be noted here. To trap the paradox, Donovan has turned them into cushions, teasing out the idea that one can find rest by abandoning one's head to Envy or Anger. Accompanying this drifting of the image's meaning is a meditation on the notion of impermanence, which perfectly relays the palimpsests of his paintings/collages.

Reference texts: Keith Donovan in Keith Donovan - Tony Morgan, cat. Maison des Expositions, Genas 1990; Vicieuses Lithos, Cyrille Noirjean in Ça presse n°29, June 2006

Reference site: HYPERLINK “http://keith-donovan.com/”

Ruth Le Gear
https://www.atelierdemelusine.com/ruth-le-gear
https://www.atelierdemelusine.com/west-coast-lab
https://www.atelierdemelusine.com/ruth-le-gear-exhibtition
https://www.atelierdemelusine.com/ruth-le-gear-essay

Le Gear’s 2021 works from the Women and Water - Women and Sound project will be shown in ‘L’eau’. The original samples, films and final sculptural and glass pieces will be on display in the gallery. The water samples come from across the Vienne region with key sites including The Vienne, Benaize, Gartempe and Salleron rivers.
Ruth Le Gear in collaboration with ATELIER MELUSINE
Water and Sound - Uisce agus Fuaim - L'eau et le son’
Across the Sea - Transa na Farraige - À travers la mer
Originally shown April – July 2021

Le Gear

Le Gear écrit : « Le travail de ma vie consiste à comprendre l'eau et à communiquer avec elle. Je l'explore dans toutes ses couches, les minuscules micro-organismes qui vivent dans une goutte, les immenses océans et les créatures océaniques, les lacs, les rivières, les nuages, la brume, la pluie, le grésil, le vent, les icebergs et les glaciers... J'ai collecté des icebergs dans l'Arctique à bord d'un grand voilier, j'ai erré dans le désert du Nouveau-Mexique et je me suis tenu à la pointe du cap de Bonne-Espérance. Dans ces endroits et partout où je me trouve, mon intention est toujours d'essayer de communiquer avec l'eau qui s'y trouve, cette force vitale la plus belle de la nature. Chaque plan d'eau est totalement unique"... »Chaque plan d'eau est totalement unique. Elle a sa propre histoire physique et spirituelle, son propre contenu minéral et sa vibration unique qu'elle partage avec les êtres vivants qu'elle rencontre. Si vous avez déjà bu un verre dans un ruisseau de montagne limpide, un autre dans un puits ancien ou nagé dans la mer, vous savez que toutes les eaux ne sont pas identiques. Le travail de ma vie consiste à comprendre l'eau et à communiquer avec elle. Je l'explore dans toutes ses couches, les micro-organismes qui vivent dans une goutte, les océans immenses et les créatures océaniques, les lacs, les rivières, les nuages, la brume, la pluie, le grésil, le vent, les icebergs et les glaciers »

Le Gear et Annett ont travaillé à distance pendant plusieurs semaines avec des cartes numériques, des sites sacrés et les rivières de la région de la Vienne en France. Grâce à des méthodes de dialogue, de recherche, de radiesthésie et d'intuition, sept sites ont été sélectionnés. À partir de la fête de Beltane, le 1er mai, Annett a collecté des échantillons d'eau sous la direction de Le Gear, puis les a envoyés à son studio en Irlande pour traitement. Les résultats ont été retournés pour être exposés en France en juin/juillet 2021 dans le cadre d'une série d'événements coorganisés par Lucy Perkins, axés sur la musique et la poésie irlandaises, et font toujours partie de la collection de l'ATELIER MELUSINE. Des essais détaillés et des images sont disponibles sur ce site - cliquez sur les liens ci-dessus pour en savoir plus.

Le Gear writes:
”My life’s work is to understand and communicate with water. I explore it, in all its layers, the tiny micro-organisms that live in one drop, the huge oceans and ocean creatures, lakes, rivers, clouds,mist, rain, sleet, hale, icebergs, and glaciers…I have collected icebergs in the Arctic from a tall ship, wandered the desert of New Mexico, and stood on the tip of the Cape of Good Hope. In these places and where ever I am, my intention is always to try to communicate with the water that is there, this most beautiful life-giving force of nature. Each body of water is totally unique.”…

“Each body of water is totally unique. It has its own physicaland spiritual history, its own mineral content and unique vibration that it shares with theliving beings it encounters. If you’ve ever had a drink from a crystal clear mountain stream,one from an ancient well or swum in the sea, you will know that all water is not the same. My life’s work is to understand and communicate with water. 
I explore it, in all its layers, the tinymicro-organisms that live in one drop, the huge oceans, and ocean creatures, lakes. rivers, clouds,mist, rain, sleet, hale, icebergs, and glaciers.”

Le Gear and Annett worked remotely over several weeks with digital maps, sacred sites and the rivers of the Vienne region in France. Through methods of dialogue, research, dowsing, intuition seven sites were selected. Commencing on the feast of Beltane – May 1st, Annett collected water samples under the guidance of Le Gear and then sent them to her studio in Ireland for processing. The results were returned for exhibition in France in June/July 2021 as part of a series of events co-curated by Lucy Perkins, focussing on Irish music and poetry and remain as part of the collection of the ATELIER MELUSINE. Extended essays and images are available on this site - click on the links above to find out more.

https://www.ruthlegear.com

About : Sandra Higgins
The exhibition L’eau is co-curated by Sandra Higgins, Director of Sandra Higgins Art. (www.sandrahiggins.art) London and Bath.

Philippa Beale, artiste et conservatrice basée en France, a présenté Annett et Higgins en 2022. Higgins a visité le site avec l'ATELIER MELUSINE pendant l'été 2023 et ils ont depuis développé les éléments de l'exposition « L'eau » avec Burnett-Hall.

Sandra Higgins est l'ancienne vice-présidente du Chelsea Arts Club, à Londres ; elle a été guide à la Tate Galleries pendant plus de vingt ans ; elle a été administratrice du Delfina Studios Trust ; elle est conseillère fondatrice d'Almagama, une plateforme pour les femmes artistes d'Amérique latine ; elle est membre de Women in Arts, à Londres ; elle est membre fondatrice de la James McNeill Whistler Society et co-convocatrice du programme artistique de la Bath Royal Literary and Scientific Institution.

Sandra Higgins a travaillé dans le secteur de l'art pendant de nombreuses années, d'abord dans sa ville natale de Chicago en tant qu'artiste et tutrice d'art, puis en tant qu'administratrice d'art, conservatrice et propriétaire de la galerie Sandra Higgins Fine Art à Mayfair, Londres. Elle est titulaire de diplômes supérieurs en gravure et en histoire de l'art, avec une spécialisation en art contemporain. Ayant beaucoup voyagé aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient, elle dispose d'un réseau enviable de galeries, de musées et d'artistes en activité avec lesquels elle collabore activement. Elle est aujourd'hui installée à Bath, en Angleterre, où elle a créé SANDRA HIGGINS ART, une société de conseil en art contemporain. Elle se rend fréquemment à Londres pour rencontrer des artistes, des clients, des expositions et des ventes aux enchères, afin de se tenir au courant des tendances du marché de l'art.

French based artist and curator Philippa Beale introduced Annett and Higgins in 2022. Higgins site visited with the ATELIER MELUSINE in the summer of 2023 and they have since been developing the exhibition elements ‘L’eau’ with Burnett-Hall.

Higgins is the past Vice-chairman of the Chelsea Arts Club, London; Former guide at the Tate Galleries for over twenty years; Past Administrator of the Delfina Studios Trust; Founding Advisor for Almagama, a platform for Latin American Women Artists; Member of Women in Arts, London; Founding member of the James McNeill Whistler Society and Co-convenor of the arts Programme for Bath Royal Literary and Scientific Institution.

Sandra Higgins has worked in the art business for many years first in her hometown of Chicago as an artists herself and art tutor, then in the as an art administrator, curator and gallery owner of Sandra Higgins Fine Art in Mayfair, London. She holds advanced degrees in Printmaking and Art History with a focus on contemporary art. Having travelled extensively throughout the United States, Europe, South America and the Middle East, she has an enviable network of galleries, museums, and practising artists with whom she actively participates. She is now based in Bath, England, where she has established contemporary art advisory business, SANDRA HIGGINS ART, and commutes to London frequently to meet artists, clients, exhibitions and auction sales to stay abreast of art market trends.

www.sandrahiggins.art
sandra@sandrahiggins.com
+44 (0)7721 741107

Below Sandra Higgins, Louisa Burnett-Hall and Sandra Higgins, Louisa Burnett-Hall and Sandra Higgins in Burnett-Hall’s Paris studio, Sandra Higgins

20 Rue Montebello. Montmorillon