Sentier écarlate P5 : St. Savin - Villemort
St. Savin
Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe, affluent de la Creuse (confluence à La Roche-Posay, donc sous-affluent de la Vienne à Port-de-Piles, puis de la Loire (fleuve) à Candes-Saint-Martin2. Un pont du xiiie siècle permet de franchir la rivière, reliant Saint-Savin à Saint-Germain4. Le nouveau pont datant du début du xxe siècle absorbe la majorité du trafic routier par la route nationale N 151.
La commune porte le nom de saint Savin, frère de saint Cyprien, qui, bien que d'origine macédonienne, se serait installé dans le Poitou où il aurait été martyrisé.
Lieux et monuments
Abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe
Un pont du xiiie siècle franchit la Gartempe presque en face de l'abbaye.
Une fabrique de jardin, la Fabrique du POINT DU JOURGens
Amable Henri Delaage (1745 - décédé en 1797 à Oost-Cappel), général des armées de la République (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
Félix Léon Edoux, ingénieur français, qui inventa l'ascenseur hydraulique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Savin_(Vienne)
https://www.abbaye-saint-savin.fr/fr/une-histoire-un-passé
https://inventaire.poitou-charentes.fr/operations/vallee-de-la-gartempe/308-communes/1192-saint-savin
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-saint-savin-86.html#histoire_patrimoine
La commune est traversée par 20 km de cours d'eau dont le principal est la Gartempe sur une longueur de 11 km.
Lieux et monuments
Le château de Beaupuy
Le donjon de Lenest
L'église saint Divitien date des xie, xiiie et xixe siècles
L'ancienne chapelle de Saulgé
Une belle croix hosannière dans le cimetière. Cette croix tire son nom de l'hébreu "hosanna"
Il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un pin maritime.
Le Jardin des forestiers.
https://www.saulge.fr/Saulge-autrefois-Histoires-et-legendes
https://www.saulge.fr/Saulge-autrefois-Presentation-generale
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-saulge.html
https://www.tourisme-vienne.com/en/activite/1527/centre-d-interpretation-de-l-histoire-rurale-ecomusee-du-montmorillonnais
https://www.unidivers.fr/event/visite-du-site-leche-histoire-de-la-ferme-modele-et-paysages-sensibles-saulge-86500/
https://www.commune-mairie.fr/saulge-86500/
https://www.ecomusee86.fr
https://www.la-mairie.com/saulge
La commune est traversée par Les Grands Moulins sur une longueur de 8,8 km.
La Butte de Lalœuf est située à quelques kilomètres au Nord-Est de Lussac-les-Châteaux. C’est un promontoire au faible modelé localisé au niveau de la confluence des ruisseaux d’Artiges et de Villeneuve.
En 1938-1939, un camp destiné à accueillir les réfugiés espagnols est construit, par des réfugiés. Long de 2500 m d’est en ouest, large de 700 m du nord au sud à l’ouest et de 300 m à l’est, il s’étend sur 180 ha, à l’est du bourg de Sillars et parallèlement à la voie ferrée Montmorillon-Lussac-les-Châteaux. Les baraquements forment trois rangées ; ils sont construits en parpaings de ciment et couverts de toits de tôle en fibrociment19. En 1944, les Allemands y stockaient de la cheddite, un explosif. Le 15 juillet, quatre P-38 Lightning (doubles queues) du 434e fight squadron, du 479e FG, à la recherche de cibles d’opportunité, attaquent le camp : lors de leur premier passage, ils mitraillent avec leurs quatre 12,7 mm et leur canon de 20 mm20. Au deuxième passage, l’un d’eux largue sa bombe ; l’une d’elles fait exploser un stock d’explosif, et l’explosion touche le P-38 qui suivait celui qui lâcha la bombe. L’avion hors d’état est posé en catastrophe à Concise (commune de Montmorillon) par son pilote, qui est évacué par la Résistance.
Commune rurale composée principalement d'exploitations agricoles, elle accueille néanmoins plusieurs sociétés majeures :
l’éco-pôle du SIMER [archive] (Syndicat interdépartemental mixte pour l’équipement rural) : situé à côté de l'ancien terrain militaire, le centre de tri des déchets ouvre en septembre 2005 ; il collecte et trie les ordures ménagères de plusieurs communautés de communes de la Vienne (Montmorillon, Civray, Gencay, Lussac-les-Châteaux, Couhé...) et emploie une centaine de personnes ;
le groupe MEAC SAS, avec une carrière d'extraction de dolomie (dont le sous-sol de la commune est riche) situé en sortie du centre-bourg ;
le groupe Lavaux SA, avec également une carrière d'extraction de dolomie, situé en face de la société MEAC
Lieux et monuments
Église Saint Félix, de type roman.
La chapelle de Cherchillé est une ancienne chapelle d'un prieuré qui a été entièrement démolie. La chapelle a été reconstruite au xixe siècle.
Dolmen de la Bastière I, qui est situé en bordure de la D727 non loin de l'Eco-pôle et qui est inscrit comme monument historique 1984.
Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes37, il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un orme champêtre situé au lieu-dit Le grand Malzac.
https://tourisme-lussac-les-chateaux.fr/autour-de-lussac/sillars.html https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-sillars.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sillars
http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-vienne-chateau-sillars-chateau-la-fouchardiere.html
La commune est traversée par 20 km de cours d'eau dont les principaux sont la rivière Benaize sur une longueur de 9 km et l'Asse sur une longueur de 2 km. La vallée du Corchon est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Il comprend l’ensemble du réseau hydrographique du Corchon qui est un petit affluent de la Benaize. Il s’agit d’une petite rivière de région bocagère, aux eaux d’excellente qualité, à fond de sédiments fins (sables et limons), alimentée par de nombreux petits ruisseaux qui prennent leur source au sein des prairies et des landes couvrant les coteaux riverains. L’intérêt biologique du site qui justifie son classement et sa protection réside dans la présence importante de la Lamproie de Planer qui est un poisson menacé de disparition dans toute l’Europe.
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame de Thollet
Le sanctuaire et la villa de la Chasseigne
https://www.poitou-brenne.fr/thollet/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thollet
https://www.intramuros.org/thollet
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-thollet.html
https://www.commune-mairie.fr/thollet-86290/
La commune est traversée par 22 km de cours d'eau dont les principaux sont la Benaize sur une longueur de 12 km et l'Asse sur une distance de 3 km.
Le Couvent des Clarrises.https://www.cirkwi.com/fr/circuit/17452-la-ville-et-ses-faubourgs-la-trimouille
Ancien couvent des Clarisses, cette maison à moellons apparents appartient maintenant à des particuliers qui l'ont restaurée. Ce couvent a été fondé «par le duc de La Trémouille avec la permission de l'évêque en l'année 1632 ». En 1727, l'établissement comptait vingt trois sœurs dont quatre sœurs convers. L'ordre des Clarisses ou des pauvres dames a été fondé en 1212 par sainte Claire, fille spirituelle et disciple de saint François d'Assise. Au XVIe siècle, les Clarisses enseignaient aux petites filles du village« pour rendre service aux habitants ».Par ailleurs, les religieuses remboursaient une somme de six mille livres « pour la construction de notre église et des bâtiments de notre communauté qui est actuellement en bon état. » Cela permet d'avancer que les constructions ont dû avoir lieu au milieu du XVIIe siècle ou au début du XVIIIe. Ce couvent avait des dépendances jusqu'au four banal. Remarquez la porte d'entrée à linteau sculpté en accolade avec jambages moulurés. L'établissement des Clarisses existait encore en 1789, puis il fut vendu comme bien national en 1794.
La Lyre trimouillaise [archive] a été créée en 1906 sous le nom de Lyre ouvrière. Elle est à cette période simple clique, avec tambours et clairons. Ce n’est qu'au début des années 1990, alors devenue Lyre de la Trimouille, qu’elle s’ouvre aux instruments d’harmonie et évolue vers un répertoire plus varié.
Lieux et monuments
Le château de la rivière.
L'église Saint-Pierre a été construite entre 1843 et 1846. Son chœur est voûté en cul-de-four. Il est ample et éclairé par cinq fenêtres en plein cintre. La base du mur est tapissée de lambris de chêne dont le bois a été offert par des réfugiés alsaciens et lorrains à la fin de la Seconde Guerre mondialeen remerciement de leur accueil par les habitants de La Trimouille. Mais l'église est surtout intéressante pour son bénitier. Il daterait de l'époque gallo-romaine ou du Haut Moyen Âge. Ce serait une ancienne pile à mil. En effet, au Moyen Âge, après l'abandon de la culture du mil, il aurait été transformé en cuve baptismale. Sa partie supérieure est octogonale, rappelant la forme des baptistères paléochrétiens.
Moulin de la Font
Moulin Neuf (et ancien plage)
Moulin de Gersant
Le Château et la motte castrale (Jardin de L’ATELIER MELUSINE)
Les premiers seigneurs connus sont cités au XIe s. et les premières mentions du château remontent au XIIe s. Symbole féodal important, la motte et le château ont été érigés sur une butte dominant la Benaize, site stratégique. Un texte du XVe s révèle que les château est en ruine depuis longtemps.
Aujourd’hui, seule la motte castrale subsiste. Au fil des siècles de nombreuses maisons furent construites le long de l’ancienne ceinture du château.
Le Dolmen de la Pierre Soupèse, commune de la Trimouille (Vienne)<:i>, 1914
L’histoire du cheval et du Haras
Au XIXe s., La Trimouille était réputée dans le département de la Vienne pour la qualité de ses chevaux de selle. A partir de 1860, on trouve trace de l’histoire du Haras qui était consacré exclusivement aux saillies des juments. Une station de monte qui accueillait des pur-sang anglo-arabes et des chevaux de trait. De février à juin, l’activité de saillie était importante. Un concours de jument poulinières très réputé clôturait la saison. Depuis 1874, des courses de chevaux anglo-arabes se déroulaient régulièrement dans la commune. En 1992, la station de monte a cessé ses activités, tout comme les courses hippiques.
Gens
Octave Bernard (1844-1904), conseiller à la Cour de cassation puis procureur général de Paris, conseiller général du canton de 1895 à 1901, propriétaire de la villa des Chaumettes à La Trimouille, y est mort en 1904.
Robert Buchet (1922-1974), dit Bubu, qui est né à La Trimouille, était l'une des figures les plus pittoresques du sport automobile.
Louis Gobillot. préhistorien à La Trimouille (Vienne)
https://www.poitou-brenne.fr/la-trimouille/
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Trimouille
https://www.poitou-brenne.fr/la-trimouille/
https://www.atelierdemelusine.com
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-la-trimouille.html
https://www.commune-mairie.fr/la-trimouille-86290/
https://www.lavoirs.org Lavoirs de France
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sites_mégalithiques_de_la_Vienne
La commune est traversée par La Clouère sur une distance de 10 km
Le nom du village pourrait dériver de l'anthroponyme gaulois Iccius
Lieux et monuments
La commune compte douze châteaux
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Usson-du-Poitou a été bâtie à l'époque romane au xie siècle.
Le logis de la Guéronnière du xviie siècle.
Le château de Badevillain du xviiie siècle.
La commune « héberge » sur son territoire des dolmens du IVe millénaire av. J.-C., au lieu-dit la Plaine. À l'origine, ces dolmens étaient recouverts de pierres et de terre pour former une butte artificielle appelée tumulus. Une entrée permettait d'y accéder pour y placer les morts. Érodée par le temps et la pluie, la butte s'est dégradée et seules les plus grosses pierres sont restées. Le site de la Plaine comprend deux dolmens de type angoumoisin, qui se caractérise par une chambre quadrangulaire allongée accessible par un couloir décentré. En 1864, il y avait cinq dolmens. Mais, avec le développement de l'agriculture intensive, et surtout à partir de 1955, date du début du remembrement, nombre de dolmens ont, alors, été démantelés.
Tunnels souterrain.
En 1872, la municipalité décide la construction d’un nouveau lavoir sur la Clouère pour remplacer un autre plus ancien, détruit lors de la reconstruction du pont. Il est ensuite reconstruit en 1924.
Les dolmens d’Artron
Gens
La résistance s’organise autour d’Élise Arlot, appelée « maman Lise »
https://www.vienneetgartempe.fr/wp-content/uploads/2018/04/laissez-vous-conter-usson-final.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Usson-du-Poitou
https://excerpts.numilog.com/books/9782402528566.pdf
https://ussondupoitou.fr/decouvrir-usson/
https://ussondupoitou.fr/decouvrir-usson/balades-randonnees/
https://parvis.poitierscatholique.fr/st-sauveur/Usson-du-Poitou-1.pdf
https://books.google.fr/books/about/Histoire_d_Usson_du_Poitou.html?id=5ddYDwAAQBAJ&redir_esc=y
https://www.commune-mairie.fr/usson-du-poitou-86350/
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-usson-du-poitou.html
La commune de Valdivienne est créée en 1969 par la fusion de Morthemer, Salles-en-Toulon et Saint-Martin-la-Rivière. La commune prend alors le nom de Valdivienne, en lieu et place de Saint-Martin-la-Rivière. La Chapelle-Morthemer rejoint la nouvelle commune dans les années 70.
La commune est traversée par 24,6 km de cours d'eau dont les principaux sont la Vienne sur une longueur de 12 km, la Dive sur une longueur de 7,4 km et l'Aubineau sur une longueur de 5,3 km. Ces deux derniers cours d'eau sont des affluents de la Vienne.
Le nom de la commune résulte de la fusion des trois communes de Saint-Martin-la-Rivière, Salles-en-Toulon et Morthemer
en 1969. Le nom du bourg Valdivienne représente la contraction de val « petite vallée », suivi des hydronymes Dive (la) (affluent gauche de la Vienne), et Vienne (la) (idem). La Dive à cet endroit est également nommée Dive de Mortemer. L'explication d’Albert Dauzat « pour certains (Mortemer), il n'est pas exclu de penser qu'il s'agit d'un souvenir de la Mer Morte, dû aux croisades » se heurte au fait que ces trois Mortemer sont mentionnés antérieurement à la première croisade. C'est pourquoi François de Beaurepaire envisage un composé germano-roman, dont Morte- représente bien l'adjectif morte et -mer le germanique occidental *mari « pièce d'eau, lac » > vieux bas francique *mari / *meri et vieux saxon meri ou alors un composé roman, dont l'élément -mer est identique au mot mer « océan » issu du latin mare, mais utilisé au sens de « mare (étendue d'eau stagnante), étang, lac ». Ce type toponymique en Morte- suivi d’un élément aqueux est fréquent, par exemple avec Morteau, de signification apparente et homonyme de l’occitan Aiguemorte (aiga morta), ainsi qu’avec Mortefontaine.
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame de Morthemer
La collégiale Notre-Dame de Morthemer est une église romane des xie et xiie siècles, crypte du xive siècle.
La crypte et le sanctuaire appartiennent à une première campagne de travaux datant du xie siècle.
L'église Notre-Dame de la Chapelle-Morthemer.
L'église Saint-Hilaire de Salles-en-Toulon
L'église Saint-Martin de Saint-Martin-la-Rivière.
La chapelle Cubord
La chapelle du Pas-de-Saint-Martin
La croix hosannière du cimetière de Morthemer
Le château de Morthemer
Les anciennes maisons de Morthemer
Château de la Donalière
Le manoir de la Touche-Barrault
Le moulin neuf de Salles, le long de la Dive, avec sa roue à aubes plates
Le moulin de Forges-Moulisme qui actionna peut- être les soufflets d'une forge à fer et qui n'est plus qu'un îlot perdu.
Le moulin Bourgeois.
Dans des carrières délaissées, il est encore possible de voir un four à chaux du xixe siècle.
Gens
Jean Chandos (en anglais "John Chandos" († 1370), sénéchal du Poitou et connétable d'Aquitaine, mortellement blessé au cours d'une échauffourée par le chevalier Guillaume Boitel, chef du parti français, le 31 décembre 1369 au pont de Lussac-les-Châteaux. Il est considéré comme l'un des principaux capitaines anglais de la première phase de la guerre de Cent Ans. Il a été enterré à Morthemer.
Luc Levesque (1902-1976), homme politique.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Valdivienne
https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/valdivienne/un-livre-sur-l-histoire-de-la-commune Max Aubrun
https://www.valdivienne.fr
https://www.valdivienne.fr/culture-et-tourisme/patrimoine/883-histoire-et-legende
https://www.annuaire-mairie.fr/ville-valdivienne.html
La commune est traversée par 5 km de cours d'eau. Comme pour l'ensemble de la région Poitou-Charentes, la commune a vu la qualité de son eau se dégrader ces dernières années. Au déficit récurrent s'ajoute une pollution engendrée par les diverses activités humaines, notamment agricoles. Ainsi, la commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’ eutrophisation.
Lieux et monuments
La Pierre à Mergault, figurant sur la carte IGN au 1/25 000 comme dolmen, et inscrite comme tel à tort au monument historique depuis 1952, est en fait une simple dalle naturelle sans aucun caractère mégalithique.
Église Saint-Michel de Verrières.
Le lavoir : il est situé sur la Dive, à côté du pont Saint-Brillard, et date de 1840. Il a été restauré en 2012.
Le pont Saint-Brillard
Le monument de la Couarde : Le 3 juillet 1944, dans la forêt de Verrières, un détachement d'allemands encercle un camp de parachutistes anglais et de résistants français. Sept maquisards et un lieutenant anglais sont tués, 31 parachutistes et un pilote américain sont faits prisonniers. Ils seront fusillés dans la forêt de Saint-Sauvant le 7 juillet.
L'étang de La Forge.
La chapelle de la Rigaudière : la chapelle Sainte-Radegonde est construite, en 1827, sur le bord de la route menant de Verrières à Bouresse. Elle est à la limite des deux communes. Sur le sol,un bloc de pierre présente une cavité pouvant évoquer l'empreinte d'un pied. Il est nommé le "Pas de sainte Radegonde".
http://www.verrieres-vienne.fr
https://fr.wikipedia.org/wiki/Verrières_(Vienne)
http://www.verrieres-vienne.fr/fr/information/80319/chemin-randonnee
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-verrieres-86.html
https://www.sentiers-en-france.eu/sentiers-vienne-86/montmorillon/sentier-entre-legende-voyages-et-histoire-humaine-verrieres
https://siv2i-verriereslebuisson.com/qui-ont-marque-lhistoire-de-verrieres/
Le Vigeant (86289)
La Tuilerie (Gare de Le Vigeant et site de Massacre WW11)
La commune est traversée par 12 km de cours d'eau, avec comme rivière principale la Vienne sur une longueur de 8 km.
Le nom du village proviendrait du latin vicanum qui dérive de vicus qui signifie "bourg", "village"
Histoire
Le Vigeant était un prieuré-cure dépendant de l'abbaye de Lesterps située en Charente.
Au xixe siècle, une ligne de chemin de fer reliait la commune de Saint-Saviol à celle de Lussac-les-Châteaux en desservant Civray (Vienne). Cette voie unique était longue de 64 km. Elle fut construite en plusieurs étapes par la Compagnie PO (Paris-Orléans). La première étape : la section Saint-Savio l- Civray - Charroux (Vienne), longue de 17 km a été inaugurée le 15 novembre 1886. La deuxième portion : Charroux - Le Vigeant - Lussac-les-Châteaux, longue de 47 km, fut mise en service cinq ans plus tard soit le 10 août 1891.
De violents combats ont lieu entre les FFI et la Wehrmacht à l’été 1944. Le 4 août 1944, les maquis Adolphe et Joël, composés de jeunes inexpérimentés, membres des FFI, accrochent, à proximité du Vigeant une colonne de la Wehrmacht qui remonte vers la Normandie pour contrecarrer les Alliés qui viennent d’y débarquer, le 6 juin. Cette colonne est encadrée par la Milice. Le combat est inégal, entre des maquisards sous-équipés et une armée expérimentée et bien armée. 18 résistants, âgés de 18 à 26 ans, trouvent la mort, deux autres sont tués lors d’une embuscade près de Persac. Les troupes allemandes investissent Le Vigeant et s’y livrent à des représailles. Des maisons sont pillées et incendiées. 22 civils sont exécutés. Le plus vieux a 73 ans et le plus jeune 17 mois. Onze otages sont contraints d’attendre la mort toute l’après-midi, à genoux, en plein soleil, le long du mur d’une mare desséchée. Ils sont fusillés vers 17 h. De nos jours, ce mur qui sert de soubassement au mémorial des Fusillés, porte encore les traces et impacts des balles.
Lieux et monument
Un monument est élevé en mémoire du massacre du 4 août 1944 commis par des Allemands.
Le circuit du Val de Vienne, un circuit destiné aux sports mécaniques situé sur la commune
Le dolmen du Grand-Fâ, très abîmé, subsiste encore à la ferme du même nom.
L'église Saint-Georges date du xie siècle.
Gens
Jean-Pierre-Armand de La Porte des Vaulx (Le Vigeant, 1826-1890).
Louis Toussaint (1905-1943) né au Vigeant, numéro deux du Réseau Renard, principal groupe de Résistance pendant l'occupation allemande.
4 Aout 1944 - Beau Aimé, Bessard Marie.
http://www.levigeant.fr/fr/information/75653/histoire-vigeant https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Vigeant
www.circuitvaldevienne.com
https://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/commune/le-vigeant/l-histoire-du-camp-devoilee
https://www.commune-mairie.fr/le-vigeant-86150/
Villemort (86291)
Sept mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage.
Lieux et monuments
Église Saint-Maixent de Villemort
Chateau Villemort
http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-vienne-chateau-villemort-chateau-de-villemort.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Villemort
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-villemort.html
https://www.commune-mairie.fr/villemort-86310/
http://www.choisir-son-psy.com/psychotherapie-3/1/VILLEMORT-86/psychanalyse.php
https://associations-info.fr/villes/2/86310/villemort.html