3. COVID Stone Trees and Shadows
In my blogs, there are recorded the days before I became too ill to go outside. Before I went to hospital. The garden at the A T E L I E R is on four levels and on the second is a space for meditation, created with the stone from excavating the crypt in the old part of the house. There had been an unfinished shelter and Morgan set about reparing it and installing an oak and tile bench from the salvage pile in the back courtyard. It meant I could sit in privacy and look out across my stone tree and meditate on it - or turn 90 degrees and look across the the river out into open countryside to the walks which I was longing to do. As I grew iller my fascination with the detail and the complexity of the new growth and the oncoming spring in the garden.
My curiousity and observation of the plants and insects and their choice and frequency of location became a daily ritual if I could go into the garden. The flowers and weeds; forget-me-not' at chesed, dandylion at Malkuth and Kether, persalaine, daisys, and bindweed - I became worried about the growth of the bindweed over the stones, imagining it suffocating the other plants and relating the body of the tree to my own; making Morgan go and clear the weeds if I could not. When I began to make the masks, I made one for each stone or sephiroth and placed them in my shadow - each one becoming a different face, mood or experience. Each one imbued with meaning and life force, a means to keep me alive and breathing.
Dans mes blogs, on trouve des articles sur les jours qui ont précédé le moment où je suis devenu trop malade pour sortir. Avant d'aller à l'hôpital. Le jardin de l'A T E L I E R est sur quatre niveaux et sur le second se trouve un espace de méditation, créé avec la pierre provenant de l'excavation de la crypte dans la vieille partie de la maison. Il y avait un abri inachevé et Morgan a entrepris de le réparer et d'installer un banc en chêne et en carreaux provenant du tas de récupération dans la cour arrière. Cela signifiait que je pouvais m'asseoir en toute intimité et regarder mon arbre de pierre et méditer sur lui - ou bien me tourner de 90 degrés et regarder la rivière en pleine campagne pour faire les promenades que j'avais envie de faire. Au fur et à mesure que je grandissais, ma fascination pour les détails et la complexité de la nouvelle pousse et du printemps qui s'annonçait dans le jardin s'est accrue. Ma curiosité et mon observation des plantes et des insectes, ainsi que leur choix et leur fréquence de localisation, sont devenus un rituel quotidien si je pouvais me rendre dans le jardin. Les fleurs et les mauvaises herbes, le myosotis à Chesed, le dandylion à Malkuth et Kether, la persalaïne, les marguerites et le liseron - je me suis inquiétée de la croissance du liseron sur les pierres, l'imaginant étouffer les autres plantes et mettant en relation le corps de l'arbre avec le mien, obligeant Morgan à aller arracher les mauvaises herbes si je ne pouvais pas. Quand j'ai commencé à fabriquer les masques, j'en ai fait un pour chaque pierre ou séphire et je les ai placés dans mon ombre - chacun devenant un visage, une humeur ou une expérience différente. Chacun d'entre eux était imprégné de sens et de force vitale, un moyen de me maintenir en vie et de me faire respirer.